(Dogme ultralibéral en habit de fête, ère Thatcher-Reagan)
Le bras-de-fer qui oppose Athènes à l’Union européenne, au Fonds monétaire international et à ses créanciers, fait au moins un heureux, le parti nazi grec Aube Dorée. Constituant la troisième force politique du pays, il ne paraît guère amoindri par le procès intenté à plusieurs de ses dirigeants, accusés d’appartenance à une organisation criminelle.
Ce parti ouvertement nazi se tient donc prêt à rebondir sur le mécontentement populaire qui pourrait éclater si les actuelles négociations entre le gouvernement grec et ses créanciers internationaux aboutissent soit à un échec, soit à des concessions trop lourdes à supporter pour le peuple de ce pays. Continuer la lecture







