
« Trois Esquisses » d’Eric Tanguy jouées au violoncelle par Jocelyne Reydy, dansées par Louise Léguillon (à gauche) et Christine Zwingmann ©Arnaud Galy
Le Laid colle au global-capitalisme médiacrate comme un porte-flingue veillant sur son « capo mafia ». Mieux, il fait partie de lui, devient son principal agent dans l’asservissement systématique de nos esprits. « La Beauté sera convulsive ou ne sera pas » disait André Breton. Elle est désormais révolutionnaire. Continuer la lecture