« La première victime d’une guerre, c’est la vérité », comme ne l’a pas dit Rudyard Kipling (1). Celle qui vient d’éclater entre le Hamas et Israël en apporte une confirmation de plus. Les faits n’ont plus d’importance. Ceux qui tiennent à conserver la tête froide sont qualifiés de sans-cœur. Pourtant, la question du point de départ de la fournaise doit être posée si l’on veut en sortir. Continuer la lecture
Palestine et Israël pris dans le piège iranien
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