
Portraits des trois victimes mortellement atteintes lors d’une cérémonie à leur mémoire. De gauche à droite: Abdurahman Kizil, Emine Kara, Mir Perwer (photo LP/Philippe Lavieille)
L’homme qui a tué trois Kurdes à Paris est présenté comme « déséquilibré psychiquement » et déclare vouer « une haine pathologique aux étrangers ». La « folie » – si « folie » il y a – d’un tueur raciste exonère-t-elle les boute-feu de l’extrémisme? Continuer la lecture