Tract numérique de soutien à l’étudiante iranienne Ahou Daryaei qui s’était promenée devant son université en sous-vêtement en signe de protestation contre la répression antiféministe des mollahs. Ces derniers l’ont internée dans un asile psychiatrique, à la manière de l’URSS sous Brejnev.
Les combats d’arrière-garde sont toujours les plus sanglants. Les troupes qui se sentent menacées de disparition mettent toute la puissance du désespoir dans leurs affrontements. Ce qui les rendent très efficaces à court-terme. Le désespoir peut alors changer de camp et les forces du progrès social s’épuisent à force de se cogner contre les murailles qu’elles voulaient prendre d’assaut. Continuer la lecture
