A chaque attentat se réclamant de l’extrême-droite en Allemagne ou ailleurs, les dirigeants nationalistes clament aussitôt : « Pas d’amalgame !» Ironie du sort, c’est ce même slogan qu’entonnent les islamistes chaque fois qu’un djihadiste fait retentir la poudre. Et les deux camps ennemis de mettre les attentats se réclamant de leur idéologie sur le compte de la folie. Ah, elle a bon dos, la folie ! Continuer la lecture
Entre folie et violence politique, un mur bien fêlé
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