L’air s’engouffre dans la chemise de la ville
Enduisant sa peau d’une fraîcheur d’église
Elle aimerait se rouler dans sa nudité
Et laisser ses désirs s’assouvir au soleil
Mais la ville se retient au bord du vide
La passion et ses sortilèges l’embarrassent
Dans les parcs ses rosiers sont bien taillés
Ses roses colorent la nuit et au matin
Elles s’ouvrent vers un ciel décomposé
Jean-Noël Cuénod
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