Aussitôt l’amour fait, le combat commence. Lutte à la cravache des spermatozoïdes pour décrocher le Grand Prix de la Naissance. Chute dans la vie hors utérus comme en tombant d’un pur-sang. Premier cri sorti de la douleur. Combat jusqu’au dernier souffle. Et si l’Eternel, c’était tout, sauf la paix ? Suite de tankas en trois dimensions : à lire ci-dessous, à ouïr en podcast, à voir en vidéo. Continuer la lecture
Archives de catégorie : Poésie
DEUIL ET DANSE SANS TEMPS MORT
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Tankas[1] en mémoire d’un ami qui a lâché l’ombre pour la lumière. Le deuil est un chemin ponctué de multiples étapes. Certaines mènent au sous-sol, d’autres remontent la pente. A consulter en trois dimensions : écriture, son et vidéo avec une chorégraphie de Christine Z (Zwingmann). Continuer la lecture
Souffler dans la fournaise: tankas à lire et à ouïr
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Pour l’instant, l’été nous épargne sa fournaise. Mais elle sévit ailleurs, dans nos pauvres esprits plus malingres que nos gueules ouvertes. Après les Gilets Jaunes, les Gilets Antivax. Silence, on clive ! Nous n’avons donc rien d’autres à faire que de nous battre sans débattre. S’il vous plaît, une pause… Eh bien ! faisons-la dans ce pays sans limite et sans Etat, la poésie. Continuer la lecture
Podcast Poésie-TELLEMENT DE FEMMES EN MOI
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Nous sommes donc sortis de l’auberge. Ou plutôt nous pouvons à nouveau y entrer. Sa Malgracieuse Majesté Covid XIX permet en effet de nous installer les pieds sous la table dans les restaurants. Enfin jusqu’à la prochaine menace… Et pendant ce temps, le féminicide, ce crime quotidien contre l’humanité, n’a pas fini de faire couler le sang des soeurs. A elles dédiées, ce poème à lire et à ouïr. Continuer la lecture
Danse-Poésie OÙ QUE J’AILLE…
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Dans cette société où défilent les brutes brutes de fonderie, balancer, non pas un gramme de douceur gnan-gnan façon pub chocolatière, mais un pavé de poésie du geste et du texte. Non pour oublier l’effrayante régression intellectuelle et morale qui nous accable. Mais pour se donner de l’air, s’offrir une minute d’assistance respiratoire. Christine Z danse sur ce poème à lire, ouïr et voir. Continuer la lecture
Danse dense envers et contre pandémie
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Jeudi 29 avril, c’est le Jour international de la danse. Tout Saint a son calendrier. Toute activité a son Jour international. Drôle d’idée de célébrer cet art que Sa Malgracieuse Majesté Covid XIX a confiné dans les écrans vidéos. Pour le déconfiner un brin, Christine Zwingmann danse en pleine nature sur un mien poème, lu par elle, tiré de Qui a éteint le Feu? A voir, à ouïr, à lire. Continuer la lecture
Covid-19 fait déborder le temps
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L’avez-vous aussi remarqué ? Les visioconférences de notre ère covidienne prennent de plus en plus l’allure de murs virtuels des lamentations. Nous sommes toutes et tous dé-bor-dées et dé-bor-dés ! Il n’y a que ces enfoirés de chats qui ne le sont pas. Le temps déborde…Oui le temps déborde. Voilà qui rappelle l’un des plus beaux poèmes d’Eluard. Rien à voir ? C’est à voir… Continuer la lecture
Poésie-IL Y AURA TOUJOURS UN MATIN
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Les aléas covidiens usent les forces, rongent les énergies, polluent les pensées, encrassent les crânes, perturbent le quotidien, dérègle le cycle nocturne. C’est le moment de n’y plus penser. Ou plutôt de penser plus loin. Un peu plus loin. Et un peu plus haut. Donc aujourd’hui, ce sera poésie. A lire et à ouïr. Continuer la lecture
Pâques et le baiser du silence (à lire et à ouïr)
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Il est là, le fils de la Femme, de l’Homme et de l’Invisible. Il est là, dans le ventre de la mort. A shabbat où tout s’éteint, se tait, se terre. Moment de secret qui infuse aux créatures créatrices le sang de l’âme. Temps souterrain de la chenille en travail. Il est là, Iéshoua, qui a fait de la trahison le passage vers la Terre Promise. Continuer la lecture
Philippe Jaccottet a pris ses quartiers d’ailleurs
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Anne Perrier, André du Bouchet, Yves Bonnefoy et aujourd’hui Philippe Jaccottet…L’une après l’autre les grandes voix s’éteignent dans les brumes de la plaine. Nous nous sentons bien seuls. Il fait froid au cœur. Leur disparition n’a pas fait flamber les médias. Dieu merci. L’époque – qui a le mauvais goût très sûr – ne mérite pas ces grands maîtres en poésie. Continuer la lecture